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Gay, Gay, on t'aimait. Tu n'étais pas spécialement laid, Tu étais même presque parfait, Un jour, tu as viré à l'imparfait, En te cachant sous tes effets de gay. L'émoi avec les hommes venait, Dans leur bras, tu te pâmais, Avec leur sexe impudent tu jouais, Tu commettais tous les méfaits. Toutes les femmes tu ignorais, Que de drames tu leur as fait, Le beau sexe tu l'étonnais, Rien en elles ne t'attirait. Peu à peu, tu te transformais Modifiant tous tes attraits, Retouchant tous les traits Pour être presque parfait. |
Extraits |
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Ecrits et poésies pour les autres |