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Puisque nos corps épuisés, Par tant d'années passées, A nous aimer sans tricher, Refusent les gestes d'aimer. Alors, vieillesses, à nous, la tendresse. A vous jeunesses, le frisson des caresses. Puisque nos cœurs emmêlés, Sur une même route sont restés, Que les violents orages de l'été, Sur notre amour se sont brisés Puisque la vie nous a tant marqués Que les épreuves nous ont frappés, Qu'il a fallu se battre et puis lutter, Pour que l'amour ne soit pas brisé. Alors, vieillesses, à nous, la tendresse. A vous jeunesses, le frisson des caresses |
Extraits |
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Ecrits et poésies pour les autres |