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On est toujours abandonné à la DAS, Les parents vous déposent et se cassent, Fissa, sans un mot, sans laisser de trace, Et vous, pour la vie, c'est déjà la mélasse. On est toujours abandonné à la DAS, On ne voit pas le temps qui va, qui passe, Et pourtant, dans la tête, rien ne s'efface, Enfants, Ados, le coeur cogne à la masse. On cherche à savoir, ou on fait l'impasse, L'histoire est un mal violent qui tracasse, Le début et la fin sans fin vous dépassent, On pleure souvent, en silence, à la DAS. |
Extraits |
Ecrits et poésies pour les autres |
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